Nos indexations d’actes sont sur Généabank, mais des tables papiers sont disponibles.
Depuis ses débuts, le CGHAV s’est donné pour tâche de dépouiller les Registres Paroissiaux et d’État Civil et d’en constituer des répertoires.
Les dépouillements effectués ont permis de constituer une base de données à partir de laquelle peuvent s’effectuer les recherches d’actes d’état-civil ancien. Ces recherches feront appel aux bases de données en ligne, dont, bien entendu, la base de données associative nationale GeneaBank (gratuite pour les adhérents des cercles participants) et aussi aux bases de données commerciales (GeneaNet et Filae.com).
(voir la page « Les bases de données en ligne »).
Ces tables sont également disponibles sur papier, et accessibles à tous. Elles sont avant tout destinées aux personnes n’utilisant pas internet, mais peuvent aussi être très utiles quand on cherche à reconstituer les familles d’une paroisse/commune déterminée. On trouvera ci-contre un bordereau de commande pour ces tables.
En cliquant sur le département que vous recherchez, vous afficherez la liste des tables disponibles sur papier, que vous pourrez commander (on trouvera ci-dessous un bordereau de commande pour ces tables, que vous pourrez imprimer).
- Tables du Cantal
- Tables de la Haute-Loire
- Tables du Puy-de-Dôme
- Bordereau de commande de tables sur papier
Attention cependant : tous les actes dépouillés ne sont pas forcément en ligne aux Archives départementales concernées. Nos dépouillements, pour être exhaustifs, ont été effectués autant en mairie qu’aux AD et les originaux peuvent être demeurés en mairie ou ne pas être encore accessibles en ligne
Environnement auvergnat
Du fait de l’existence de Tables décennales (TD) au cours du 19e siècle, la priorité a été de réaliser tout d’abord, le dépouillement des registres paroissiaux d’Ancien Régime (avant 1793) et plus particulièrement des actes de mariage.
En effet, ces actes de mariage sont essentiels à la recherche généalogique, car nos ancêtres ne restaient pas toujours cantonnés dans leur village d’origine et allaient parfois chercher leur épouse dans un village voisin, voire, s’ils étaient d’un certain niveau social (les notaires par ex.), à plusieurs dizaines de kilomètres.
Et puis …, l’Auvergne étant un pays d’émigration, il est parfois extrêmement difficile d’identifier la paroisse/commune où ont pu se marier nos ancêtres, d’où l’intérêt des bases de données en ligne, qui regroupent l’ensemble des dépouillements plutôt que des tables spécifiques à une paroisse/commune.
Enfin, les curés qui tenaient ces registres n’avaient pas toujours mis en application les réglementations que l’administration essayait de leur imposer, et bien souvent les actes de mariage ne comportent pas de filiation, et c’est alors qu’il faut se transformer en Sherlock Holmes pour recomposer celle-ci à partir des indications éparses, telles les mentions de relation familiale parmi les parrains et marraines des baptêmes.
Ces dépouillements constituent notre base de données, à partir de laquelle ont été préparées des tables sur papier (disponibles sur commande), et aussi un accès par internet sur différentes bases en ligne (plus d’un million d’actes à ce jour.
(voir la page « Les bases de données en ligne »).